Presse

Adagio Hammerklavier

La barre était haute, surtout pour le néoclassique, car la chorégraphie de Van Manen, marquée par une simplicité précise et des exigences techniques élevées, exigeait beaucoup de la part des danseurs. Néanmoins, c’était une performance très réussie et certainement une énorme opportunité pour cette jeune compagnie de se pencher sur les chefs-d’œuvre de l’histoire de la danse et de se développer avec eux.

Renate Killmann –  TANZNETZ, avril 2023

Pink Duet

« Immergés dans une lumière rouge sombre, les danseurs créent des images d’une beauté irréelle, mais divergent ensuite dans des directions différentes. »

Südkurier, juillet 2018

Poil de carotte

« Musique et pas de danse en demi-pointe, s’épousent au millimètre pour célébrer  les chants du corps et les gestes de l’âme. Gageons que l’association Fàbio Lopez – Thierry Escaich n’en est qu’à ses débuts »

Madinin’ART, déc 2016

Molto Sostenuto

« Fabio Lopez lui-même, tout en affirmant une sensibilité qu’on pourrait qualifier de sombre, pour ce qu’on en connaît aujourd’hui, a su construire un très beau Molto sostenuto, sur une musique de Kabalevski, où un quatuor de danseurs dessine un parcours imaginaire aux résonances poétiques, et à la graphie parfois proche de celle d’un Balanchine. »

Jacqueline Thuilleux – Concertclassic, fév 2018

Cage of God

 Dans ce voyage de l’enfer au paradis, il ne laisse ni ses interprètes ni le public reprendre souffle dans un ballet abouti qui confirme le savoir-faire de ce jeune chorégraphe… Fábio Lopez y construit des ensembles complexes d’excellente facture.

Danses avec la plume, fév 2020

Thèmes rentables gestuellement, que Lopez traite habilement, en multiples cambrés et portés, même si les questions soulevées paraissent inatteignables avec de simples gestes.

Jacqueline Thuilleux – Concertclassic, fév 2020

Et si je buvais les étoiles ?

 « Avec cette pièce, plutôt que voir la danse, Fàbio Lopez nous exhorte à sentir la danse. »

Antonella Poli – Chronique de Danse , juin 2019

Mad

« Savant mélange de pas académiques apparaissant par surprise au milieu de reptations au sol et d’athlétiques attitudes forcées »

Les Balletonautes, mars 2020

Crying after Midnight

« Pièce profondément sensible… Lopez a évité les pointes dans cette création et est allé au-delà son style néoclassique très fin et fluide en incorporant des interactions banales, non chorégraphiques pour ainsi dire, qui ont donné à la pièce une touche contemporaine et une identité distincte. »

François Fargue – Dance Europe, juillet 2021

« Retrouvant des lignes plus aériennes, un mouvement plus fluide et des points d’appuis moins terriens, le ballet entraîne le spectateur dans une rêverie profonde, le déconnecte du monde et le fait flotter dans une bulle d’une salvatrice légèreté. »

Le Nombril du Vicomte, fév 2021

La Belle au bois dormant

« Encore une fois, Fabio Lopez fait la preuve de son talent et nous a confortés dans notre sentiment d’avoir en lui un grand chorégraphe néo-classique »

Danser, fév 2022

« Voici une Belle qui audacieusement dément les défaitistes initiaux et est faite pour convaincre autant le balletomane chevronné comme au grand public qui nécessairement a passé à coté de ses subtilités mais ne pouvait pas ne pas apprécier sa danse convaincante et son goût impeccable. »

François Fargue – Dance Europe, avril 2022

 

« Je pense que votre « Belle au Bois dormant » d’après Petipa (de très loin !) remporte un  très grand succès car il est remarquablement bien ficelé et interprété »

René Sirvin – ex Figaro, sept 2022

Avant qu’il n’y ait le silence

« Avant qu’il n’y ait le silence » est une création d’essence purement néoclassique mais à laquelle s’ajoute une élasticité, qui semble défier les limites du corps…On retrouve tout au long de l’œuvre les portés, chers à Fabio Lopez, mais qui semble toujours au bord de la rupture, tant les corps se tendent et s’élèvent »

Annie Rodriguez – DANSER, juin 2023

Stabat Mater

« Une création inédite de Fábio Lopez qui fera date dans son répertoire et qui nous transporte dans un ciel étoilé où la souffrance laisse place à la joie d’assister à un ballet à la pureté éblouissante »

Bruno Rozga –  Le billet de Bruno, mai 2023